vendredi 26 février 2010

Bravo pour les zippopos!


Photo Patrick Woodbury,Le Droit.


Où sont passés les zippopos se mérite un bel honneur... C'est annoncé ici.

mercredi 24 février 2010

31e Salon du livre de l'Outaouais



Z’auriez pas une fringale de lecture?
Une faim irrésistible de bons livres?
Ça tombe bien, voilà-t-y pas que le Salon du livre de l’Outaouais s’ouvre demain!
C’est le temps de faire le plein de bouquins.
De venir écouter ce que les auteurs racontent lors de tables rondes et de voir d’un peu plus près ces étranges bibittes qu’on appelle les écrivains.

J’y serai, à ce Salon, lors de séances de torture, oups, séances de signature (quasiment mur à mur) chez mes divers éditeurs.
Si ça vous chante, venez me serrer la pince.


Mes séances de signature

Où sont passés les Zippopos?
Éditions Québec Amérique, stand 165
Jeudi : 11 h à 12 h 15
Vendredi : 11 h à 12 h 13 h 15 à 14 h 30
Samedi : 10 h à 12 h
Dimanche : 10 h à 12 h

La corde à linge magique
Éditions Imagine Stand 146
Samedi 14 h à 15 h
Dimanche 12 h à 13 h,

Mon papa ne pue pas!
Éditions de L’Isatis. Stand19
Jeudi 13 h 30 à 14 h 30
Samedi 13 h à 14 h
Dimanche 13 h à 14 h

Pipi dehors
Bayard Canada, stand 149
Vendredi: 14 h 30 à 15 h 30
Samedi : 14 h à 15 h
Dimanche : 14 h à 15 h

lundi 22 février 2010

La corde à linge magique


Robin est triste.
Son papa est parti en voyage d’affaires et il ne pourra pas revenir à temps pour son anniversaire.
Mais voilà que le petit garçon découvre une mystérieuse enveloppe dorée sur la corde à linge.
Que contient-elle ?
Qui l’a accrochée là ?
Son papa ?
Thomas, le grand frère de Robin, déclare que leur corde à linge est magique…

La magie pourrait-elle adoucir le chagrin de Robin ?

Une histoire qui parle de réglisse et d’allégresse.
De complicité et de parfums de pommes vertes.

Les couleurs primaires s’éclatent dans les lumineuses illustrations de Marion Arbona.
Du bleu chaleureux au vert vibrant, ses couleurs chantent la joie.

Maintenant en librairie.

dimanche 21 février 2010

Une bande dessinée qui fait rire et pleurer


Moi qui n’ai lu que très sporadiquement et sans grande conviction quelques Astérix ou quelques Tintin par-ci, par-là, je n’aurais jamais cru qu’on pouvait trouver autant d’émotion, autant de force et autant de délicatesse dans une bande dessinée. Je les ai pourtant trouvées en abondance ces qualités dans le récent opus de Michel Rabagliati, dont je suis devenue une « fan » finie. Après avoir dévoré Paul à Québec, je m’en vais courir à la bibliothèque pour lire les cinq volumes précédents de cette série maintes fois primées.

Ce n’est pas pour rien qu’on a dit de lui : « Rabagliati est au 9e art ce que Jutra est à notre cinéma national. »

Moi qui ai grandi dans une grosse famille tricotée serrée, je me suis retrouvée d’innombrables fois dans le portrait de la famille élargie de Paul, qui resserre les rangs et se serrent les coudes devant la maladie, l’agonie et la mort du patriarche. Un deuil que Michel Rabagliati raconte avec une infinie tendresse.
Sans blague, on passe du rire aux larmes à travers ces pages.

Le rire: Les trois sœurs veillent leur père mourant. Épuisées, fragiles, les émotions à fleur de peau, elles vont dehors fumer un joint. Sous l’effet de ces substances illicites, elles se mettent à parler du fonctionnement de leurs intestins... Et les voilà qui se tordent de rire sur leur banc. Et on rit avec elles. Car on a tous vécu ça, des crises-de-fou-rire–soulagement sur un sujet complètement absurde.

Les larmes: Cette scène où la petite fille de Paul lui demande où il ira grand-papa une fois qu’il sera mort. Le père tente une explication… suivi d’un moment de silence, aussi énorme qu’une montagne. Bouleversant de vérité.

Michel Rabagliati sera l’invité d’honneur bande dessinée au Salon du livre de l’Outaouais, du 25 au 28 février 2010. Pour les gens de l’Outaouais, c’est le moment idéal de se procurer une copie de Paul à Québec, un incontournable.

J’ai parlé de ce roman samedi dernier à ma chronique aux Divines Tentations, qu’on peut écouter ici.


Bruny Surin le lion tranquille, biographie de l'athlète. Libre Expression.

Dans cette biographie rédigée avec l’appui du journaliste Saïd Khalil, Bruny Surin analyse ce qu’il faut pour être un champion: « le travail acharné à l’entraînement, le sens des sacrifices, du dépassement, une volonté farouche. » Tiens, ça ressemble beaucoup à ce qu’il faut pour être écrivain.

Bruny Surin et Saïd Khalil seront tous deux invités d’honneur thématiques au Salon du livre de l’Outaouais.


Slam poésie du Québec, sous la direction de Pierre Cadieu. Vents d’Ouest

L’éditeur nous présente cet ouvrage comme la première anthologie québécoise. On peut y lire les œuvres d’une cinquantaine de poètes de diverses régions du Québec. Pour ceux qui ne connaissent pas le slam, l’analogie vient du baseball, où l’on « slam the ball »… Dans cette poésie de l’oralité, quand on slame son poème, on le scande, on l’offre avec émotion.

Il y aura un spectacle de Slam vendredi le 26 février au Salon du livre de l’Outaouais. Le poète et slameur Pierre Cadieu sera l’invité d’honneur, littérature de l’Outaouais au SLO.